≈ no place like home, contexte.

“They can say, they can say it all sounds crazy they can say, they can say I’ve lost my mind i don’t care, I don’t care, so call me crazy we can live in a world that we design”

" Boom boom [...] Boom boom [...] Les pieds enfoncés dans le sable, elle laisse les vagues qui viennent s'écraser sur ses chevilles, la bercer. Enfin, elle est chez elle. Elle retrouve une certaine sérénité avec la vision de ces paysages magnifiques qui l'entourent. Elle reprend goût à la chaleur du foyer familial, aux accolades amicales des uns et des autres. Elle est partie un temps, pour voyager, visiter, réfléchir à sa vie, à ce qu'elle était, ce qu'elle voulait être, sur ce qu'elle espérait. Elle voulait se recentrer sur elle-même, pour avoir un futur. Elle voulait trouver ce petit quelque chose qui lui manquait mais... Mais maintenant, elle en est sûre, il n'y a pas meilleur endroit que la maison. Et la maison, c'est l'Irlande, ce pays merveilleux aux paysages incroyables, aux habitants accueillants et chaleureux. Et puis, il y a cette ville, la sienne. La ville. Elle n'est pas très grande, pas des plus connues, mais elle le sait maintenant, c'est là qu'est sa place. Elle a vu et vécu ailleurs, mais jamais aussi intensément. On peut croire que la vie y est plate et monotone, et pourtant. Pas dans cette ville qui semble être entourée de magie avec ses contes populaires et ses légendes qui lui sont propres. Les gens vont et viennent, mais elle, elle sait que leur passage les marque à vie, comme la sienne a été marquée. Et une vie, nous n'en avons qu'une, elle l'a bien compris. Alors, il faut en profiter pour vivre avec passion ce petit infini si complexe. Il faut aimer, se disputer, tomber, se relever. Il faut rire et pleurer. Tout simplement, il faut vivre, parce que personne ne le fera pour nous. Elle ferme les yeux, prête à sauter à pieds joints dans cette aventure pleine de magie et de mystère, qui lui réserve bien des surprises. Parce que la vie, est loin d'être un long fleuve tranquille.